"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
Je dirais plutôt "Minerai", car il faut en exploiter de nombreuses pages, avant d'en extraire quelques bons morceaux ! Il s'agit du récit de personnages noyés dans la contemplation d'eux-mêmes et de leurs caprices, souvent arrogants, vraisemblablement assistés, aux relations sociales presque inexistantes et au fond sans grand intérêt. L'intrigue est parfaitement invraisemblable et, comme telle, fastidieuse. Émergent, parfois des moments de poésie fugitifs qui tentent de sauver la donne. Cela n'en fait pas un grand roman.