15 octobre 2021
La présente fiche a été écrite en 2009.
Même si j'en maintiens les termes généraux, je ne dirais plus que "il n'est pas vrai que la planète se réchauffe de façon anormale". Je suis, en revanche, encore en ligne avec le reste, n'ayant pas réussi à être convaincu par les arguments sans preuves réelles que le CO² anthropique est coupable. Peut-être changerai d'avis à nouveau dans 12 ans... si je suis encore là !
Il faut beaucoup de courage et d'assurance pour s'attaquer à une idéologie fausse, mais séduisante, celle des "gaz à effet de serre''. Elle trompe des citoyens de bonne foi, qui croient donner un sens à leurs actes. Mais, en arrière-plan, ses promoteurs prennent un pouvoir considérable et délétère, et se remplissent les poches sur le dos des contribuables.
Les faits.
D'abord, il n'est pas vrai que la planète se réchauffe de façon anormale : moins d'un degré en 100 ans. L'histoire a connu des variations bien pires !
Ensuite, nul n'a établi de lien entre la température et les "gaz à effet de serre'', à l'échelle de la planète. Des scientifiques dénoncent l'escroquerie à but médiatique que constitue cette affirmation, mais, pour l'instant, ceux qui dominent les médias les font taire. Que l'homme contribue à augmenter la teneur en CO2 en utilisant des combustibles carbonés fossiles, c'est vrai. Dire que cela implique qu'il soit responsable de l'augmentation de la température est un double mensonge, puisqu'elle n'augmente que fort peu et qu'il n'y a pas de lien établi avec le CO2.
Les carburants carbonés fossiles.
Avec un grand bon sens, le livre rappelle que leur usage a été une chance pour l'humanité et la source de la considérable amélioration des possibilités de vie sur terre comme l'atteste, entre autres, l'augmentation simultanée de la population et de son niveau de vie. (Voir page 243).
Alors, qui peut douter que l'on cesserait d'exploiter ces ressources qui ont tant apporté ? Tout, aujourd'hui dément cela. Le livre est clair à ce sujet : nous avons environ 100 ans de ressources fossiles devant nous et nous les exploiterons jusqu'à la fin. Et rien ne permet de penser que cela fera le moindre mal à la planète. Cela laisse surtout le temps pour des solutions économiques de remplacement.
L'imposture politique.
Que les anciens gauchistes, les "pastèques" (vert à l'extérieur et rouges dedans), en mal de solutions pour détruire la société se soient rués avec fanatisme dans cette vision apocalyptique d'une planète en perdition, soit. Même si elle est absurde et démentie par les faits.
Mais que leur pouvoir, à travers cette idée fausse, ait envahi, particulièrement dans les pays européens, les esprits des dirigeants devient grave. On voit ainsi la démocratie, supposée laïque, se mettre du service d'une secte et détourner les ressources financières de l'impôt à des fins quasi religieuses.
Sait-on que le Grenelle de l'Environnement, totalement inefficace, comme on le reconnait dans les couloirs de l'Assemblée Nationale, va coûter 20 à 40 milliards d'euros par an sans pratiquement créer d'emploi ?
Sait-on qu'à cela va s'ajouter, encore pour "sauver la planète" 20 milliards pour des transports publics inefficaces et dont on protège un monopole suranné (Interdiction de création de lignes d'autobus, sans l'accord de la SNCF !)
Arrêtons là et pleurons, quand on sait l'état de l'enseignement supérieur, de la justice, du logement social, par exemple.
Que nos dirigeants, sans doute pour récolter à court terme quelques voix, se soient laissé berner est affligeant. Ils ne dirigent plus, ils surfent sur les médias. Ils devront, un jour, rendre compte de ce gaspillage qui n'est pas perdu pour tous, et du soutien à une secte, en totale contradiction avec notre constitution qui spécifie la laïcité de l'Etat.
L'esprit de l'époque.
Cette naissance, sous nos yeux, d'une religion nouvelle, fait froid dans le dos.
D'abord parce qu'elle ne propose plus le salut des hommes en tant qu'individus, mais un salut collectif, la planète, auquel l'individu est subordonné. C'est le retour des fascismes et des totalitarismes les plus sombres et leur cortège de crimes au nom de "la cause".
Ensuite, parce que l'intelligence et la raison sont bafouées quand des dogmes sont bâtis sur le mensonge. Le 18e siècle semblait avoir donné au monde des outils pour garder les pieds sur terre. Les horreurs du 20e siècle et aujourd'hui cette insidieuse écolo-idéologie religieuse représentent des rétrogradations obscurantistes inquiétantes.
Enfin, parce que ceux qui dénoncent, comme le fait ce livre, le mensonge et le gaspillage écolo-idéologique sont systématiquement bâillonnés par les médias, asservis à cette religion. Tenez, un exemple : visitez des librairies et essayez de trouver ce livre en étalage. Je vous souhaite bonne chance ; il est "épuisé". Et il en est, hélas de même, par exemple avec la pétition de l'Oregon (plus de 30000 signatures de scientifiques), qui est systématiquement passée sous silence parce qu'elle met en doute cette religion. La presse n'est plus au service du citoyen, elle fait du sensationnel qui se vend.
Espérons que le livre contribuera à faire douter de ces prophètes d'apocalypse en forme de "pastèques". Ce serait au moins un début de sagesse.