"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
En un peu plus de 100 pages, l'auteur dresse un panorama rigoureux de cette source d'énergie et du rôle qu'elle a dans le monde actuel et à venir. Il aborde aussi ses forces et ses points faibles, dont la difficulté réside toujours dans leur pondération relative pour se forger un avis. Il montre aussi l'évolution de l'opinion face à cette énergie, évolution qui depuis quelques années est globalement positive, en France, comme dans de nombreux autres pays. La France, si incertaine dans ses choix, saura-t-elle relever le défi ?
Je dirais plutôt "Minerai", car il faut en exploiter de nombreuses pages, avant d'en extraire quelques bons morceaux ! Il s'agit du récit de personnages noyés dans la contemplation d'eux-mêmes et de leurs caprices, souvent arrogants, vraisemblablement assistés, aux relations sociales presque inexistantes et au fond sans grand intérêt. L'intrigue est parfaitement invraisemblable et, comme telle, fastidieuse. Émergent, parfois des moments de poésie fugitifs qui tentent de sauver la donne. Cela n'en fait pas un grand roman.
Quel beau livre ! Ce récit d'une mort, paisible, presque joyeuse m'a vivement ému, tant il implique une humanité simple, une liberté et un respect mutuel de chacun des acteurs lors de ce passage, accepté ici comme naturel et qui sera franchi avec légèreté, avec grâce, même. Tu vas t'endormir et tu ne te réveilleras pas. Alors c'est bien, répond-il. Comme le ferait un être, élégant et discret, qui s'éloigne et ne reviendra pas, laissant derrière lui, non le souvenir de sa disparition, mais celui du bonheur d'avoir un peu partagé sa vie.
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