Cent mots, un peu plus de 100 pages. Ce n'est ni un dictionnaire, ni un roman, ni un cours. C'est une promenade intelligente dans cet univers de l'économie, mal connu des citoyens. Une réussite.
Bien entendu 100 pages c'est peu et ça laisse parfois le sentiment du superficiel. C'est un peu la règle du genre des "Que sais-je ?", qui laisse sur leur faim ceux qui savent un peu et déroute ceux qui ne savent rien.
Je crains fort que la seconde catégorie l'emporte, si j'en juge par l'ignorance crasse de notre ex-président socialiste qui prouve que l'on peut dans ce pays (et les autres ?) ignorer, voire cracher sur la poule aux oeufs d'or et faire quand même une belle carrière. Triste constat à mes yeux dans un monde où la politique ne trouve vraiment la liberté de son expression et de ses actes que dans une économie prospère. Il me semble même que la liberté de penser dépend aussi pour partie de la prospérité... Alors merci à ce livre d'aider ceux qui en ont le courage, à mieux comprendre un aspect essentiel des activités humaines.
J'espère aussi que ce court écrit éclairera ceux qui, de bonne ou de mauvaise foi, confondent "économie" et "social". Cette maladie, bien française, véhiculée et encouragée par ce qui s'appelle encore "l'éducation nationale", est réductrice à l'excès, encourage la confusion et véhicule les idéologies les plus diverses. L'activité économique, comme toute activité humaine, a des conséquences sociales. Le mariage ou le tir à l'arc aussi. Ce n'est pas une raison pour les confondre.
Alors, bonne route et tant pis si un mot parait un peu obscur ; il en reste 99 autres !
Bien entendu 100 pages c'est peu et ça laisse parfois le sentiment du superficiel. C'est un peu la règle du genre des "Que sais-je ?", qui laisse sur leur faim ceux qui savent un peu et déroute ceux qui ne savent rien.
Je crains fort que la seconde catégorie l'emporte, si j'en juge par l'ignorance crasse de notre ex-président socialiste qui prouve que l'on peut dans ce pays (et les autres ?) ignorer, voire cracher sur la poule aux oeufs d'or et faire quand même une belle carrière. Triste constat à mes yeux dans un monde où la politique ne trouve vraiment la liberté de son expression et de ses actes que dans une économie prospère. Il me semble même que la liberté de penser dépend aussi pour partie de la prospérité... Alors merci à ce livre d'aider ceux qui en ont le courage, à mieux comprendre un aspect essentiel des activités humaines.
J'espère aussi que ce court écrit éclairera ceux qui, de bonne ou de mauvaise foi, confondent "économie" et "social". Cette maladie, bien française, véhiculée et encouragée par ce qui s'appelle encore "l'éducation nationale", est réductrice à l'excès, encourage la confusion et véhicule les idéologies les plus diverses. L'activité économique, comme toute activité humaine, a des conséquences sociales. Le mariage ou le tir à l'arc aussi. Ce n'est pas une raison pour les confondre.
Alors, bonne route et tant pis si un mot parait un peu obscur ; il en reste 99 autres !
Editions Que sais-je ? (2005) - 127 pages