Göran Tunström (1937 - 2000) est suédois, et insuffisamment connu dans notre bon pays.
Ce roman est une invitation à découvrir le sien, à travers un récit onirique, parfois à la limite de la raison, mais toujours extraordinairement sensible. C'est peut être à l'impressionnisme que ce livre nous fait penser, quand il nous raconte par exemple le chagrin de celui qui vient de perdre sa femme. Un mot, un signe et tout est devant nous vibrant de vérité. Il nous entraîne à compatir, avec sans doute plus de force que ne saurait le faire un style plus romantique ou expressif. Nous sommes devant un fait qui s'impose, non devant ce qu'en pense un être humain. Un véritable tour de force !
Une réussite superbe, une promenade dans la musique, dans l'amour, dans la folie que je vous recommande.
Ce roman est une invitation à découvrir le sien, à travers un récit onirique, parfois à la limite de la raison, mais toujours extraordinairement sensible. C'est peut être à l'impressionnisme que ce livre nous fait penser, quand il nous raconte par exemple le chagrin de celui qui vient de perdre sa femme. Un mot, un signe et tout est devant nous vibrant de vérité. Il nous entraîne à compatir, avec sans doute plus de force que ne saurait le faire un style plus romantique ou expressif. Nous sommes devant un fait qui s'impose, non devant ce qu'en pense un être humain. Un véritable tour de force !
Une réussite superbe, une promenade dans la musique, dans l'amour, dans la folie que je vous recommande.
Editions Actes Sud - Babel 56 (1992)