"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
Voici un plaidoyer bien étayé sur l'aveuglement où nous ont conduits la foi dans le monétarisme et l'illusion des marchés parfaits. C'est aussi un plaidoyer pour un keynésianisme actif , un rôle régulateur retrouvé des collectivités humaines et une responsabilisation accrue des acteurs financiers. Tout le contraire de ce qui a été fait et de ce qui continue à se faire sous nos yeux.
Lire la suite... Joseph Stiglitz, Le Triomphe de la cupidité