"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
Encore un livre sur la crise financière et ses conséquences ? Oui et pourtant, il me semble que ce livre évite deux des principaux écueils : la banale trivialité du propos (les contrôles n'ont pas été suffisants, l'informatique a tout déréglé, etc.) ou l'indignation morale, qui caractérise en général l'ignorance des vrais problèmes, mais permet de ne rien dire avec belle conscience, ce qui flatte le peuple et entraine son adhésion.
Lire la suite... Matthieu Pigasse et Gilles Finchelstein, Le monde d'après