"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
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Vous n'avez pas lu (ou vous avez oublié) l'Iliade d'Homère ? Ce livre, lu en quelques heures, vous en livrera l'essence. Faites-le, car nos vraies racines sont là, même si le christianisme et le rationalisme ont un peu modifié notre ADN en 3000 ans. Nous devons toujours quelque chose à nos ancêtres, nous conservons toujours quelque chose d'eux. Autant le savoir.
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Au nom de l'écologie et souvent en toute bonne foi abusée par des dogmes, de véritables arnaques économiques ont lieu sous nos yeux conduisant à un gigantesque gaspillage de l'argent public. Pire, l'Etat ne choisit plus ses priorités, il subit la pression de groupes dont l'intérêt général est le cadet des soucis. Un exemple ? Savez-vous que l'Etat consacre par an 10 Milliards d'Euros à l'Université, 11 à la Justice et 12 à COMBLER LE DEFICIT de la SNCF, dont les ventes sont de 8 Milliards et qui n'assure que 4% de nos transports ? Où est le bon sens ?
Lire la suite... Christian Gerondeau, Écologie, la grande arnaque
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patUn bref roman, paru en 1978, plein du charme du silence, de l'incertain et des pas sur la neige. L'attente y est délicieuse, de trouver un fil à une vie qui a perdu son passé et de le suivre. Mais il ne conduit que là où ...
Un amnésique tisse peu à peu la trame des faits et gestes qu'il a sans doute menés et finit par s'identifier, non sans motifs valables, à un personnage qui tentait de fuir sous l'occupation allemande. Un choc psychologique, que nous côtoierons au cours du récit, avait été certainement la raison de cet oubli de soi. Le roman est superbement mené et écrit et l'intrigue tient bien.
Mais ce qui attire particulièrement le lecteur est le ton, doux ,sensible presque feutré, propre à l'auteur. Une agréable lecture, sans autre suite que le plaisir qu'on y trouve.
Un amnésique tisse peu à peu la trame des faits et gestes qu'il a sans doute menés et finit par s'identifier, non sans motifs valables, à un personnage qui tentait de fuir sous l'occupation allemande. Un choc psychologique, que nous côtoierons au cours du récit, avait été certainement la raison de cet oubli de soi. Le roman est superbement mené et écrit et l'intrigue tient bien.
Mais ce qui attire particulièrement le lecteur est le ton, doux ,sensible presque feutré, propre à l'auteur. Une agréable lecture, sans autre suite que le plaisir qu'on y trouve.
Editions Gallimard (1978) - 215 pages
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