"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
Un ennui irrépressible se dégage de ce roman. Tout y est éclaté, souvent insignifiant, même si l'environnement de l'attentat des Twin Towers, lui, ne l'est pas.
Un récit fait d'images successives, un peu racoleuses, sans colonne vertébrale, sans pensée. De la bouillie
Impossible de le terminer sans s'endormir...
Lire la suite... Marguerite de Saint-Marceaux - Journal 1894-1927
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