"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
Ce visage flou de la couverture, c'est celui de la nostalgie, fil conducteur de sept de ces neuf nouvelles. Un chagrin doux, un noeud qui ne se noue pas, un mot qui n'a pas été prononcé, un théâtre qui aurait pu être la vraie vie, un espoir d'accomplissement sans suite... Un moment de grâce réussi.
Il reste, il restera une énigme : qu'allait-il faire à Belsunce, ce Normand ? Les femmes y sont-elles plus pneumatiques qu'ailleurs ? Les crimes plus sanglants ou plus retors ? Les pétoires plus musicales ? Si ces interrogations vous troublent, passez votre chemin. Ce qui se passe à Belsunce est autrement plus dramatique que ces questions existentielles, somme toute annexes à l'aune des événements hémoglobinés que vous allez prendre en plein coeur en pénétrant dans ce roman. Attachez vos bavoirs, vampires.
Il était une fois un Petit PaPi Paillard, que, dans un souci de simplicité, nous appellerons P4. Et pas correct de surcroit, ni de la tête, ni de la queue. Une bien réjouissante pochade, à méditer d'urgence, propre à catéchiser (sic) les englués du socialement correct.
Page 3 sur 7