"Il n'existe qu'une langue pour exprimer des vérités absolues : la langue de bois"
"L'obstination et l'ardeur des opinions sont la preuve la plus sûre de la bêtise" Montaigne, III,8
DB a un vrai talent pour raconter une histoire. Il est hélas incroyablement bavard. Tout cela fait un polard qui tient debout mais qui, à mon goût aurait gagné à perdre 300 pages. Les longues considérations véhémentes sur la foi et la religion sont superficielles et soporifiques ; les répétitions de crimes, à peu de choses près identiques, sont ennuyeuses, pour ne donner que deux exemples.
A la suite de la lecture (et relecture qui a transformé ma surprise en incompréhension réactive) du 1er chapitre (L'existence comme signe), je crois devoir marquer une pause. Il est en effet difficile d'être plus en désaccord, dès les premières pages, avec un auteur que je le suis ici. ChD affirme avec vigueur des préjugés, certes écrits dans une langue simple et claire, mais qui restent des préjugés que je ne partage pas.Page 274 sur 335